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12 Jul 2015

Extrait sonore de mon nouveau roman "Chronique de la mort au bout"

Roman refusé par tous les éditeurs à qui je l'ai envoyé, ce roman restera donc à l'état de manuscrit auto-édité. Je n'ai aucune estime pour l'auto-édition, mais a-t-on le choix? Les éditeurs m'ont la plupart du temps répondu, étayant leur refus: "Trop travaillé", "trop écrit"... Alors soit. J'ai donc choisi de le mettre à la disposition de quelques lecteurs intéressés. Edition collector, limitée dans le temps. 

 

 

Cannibale est un extrait (sonore et mis en musique par Gregory Pichot) de l'introduction du roman "Chronique de la mort au bout" (premier titre de ce livre: "Poétique d'un tueur") de Léonel Houssam (ex-Andy Vérol), mis en musique par Grégory Pichot. Les photos sont de Yentel Sanstitre, photographe et l'une des sélections 2013 du très sélect 30 under 30 Women Photographers. Roman disponible sur commande par e-mail: hirsute.hirsute@orange.fr (avec dédicace personnalisée de l'auteur. Prix: 20€) ou sur Amazon (sans dédicace):

 

https://www.youtube.com/watch?v=-Aj2LdkaMXk

05 Jul 2015

Les joies d'être écrivain indépendant noyé dans le "Do it yourself"

Les joies d'être écrivain indépendant noyé dans le "Do it yourself", Acte 1:

Une petite fourbe me dit: "J'achète ton livre Chronique de la Mort au Bout mais toi tu achètes aussi le mien en échange". Je lui dis: "Il est disponible sur Amazon?

- Oui.

- Le mien aussi. 

- Ok."

Quelques minutes plus tard elle m'envoie un message:

"C'est bon, je l'ai acheté!

- Sur Amazon?

- Oui à l'instant! A toi d'acheter le mien maintenant!

- Ok"

Je suis un vieux briscard de l'Humanité et des réseaux. Je regarde le profil de la meuf. Elle écrit des livres mièvres à dégueuler. Je n'achète évidemment pas. Je ne propose pas de vendre mon livre pour acheter celui de l'acheteur, oh, putain, fuck! J'achète 3-4 livres par semaine parce que le style me plait, l'auteur me parle, un pote-lecteur en qui j'ai confiance me l'a conseillé, etc. Bref, je me comporte en lecteur, pas en vendeur de pâté industriel sur un marché bio.

J'attends une heure ou deux. Cette meuf pense sûrement me duper. Mais je produis mon dernier roman, donc j'en ai tous les indicateurs. Je vérifie: que dalle! Elle n'a rien acheté cette caillasse! 

Bref: je l'ai tej' de mes contacts.

 

P.S.: pour info, "Chronique de la Mort au Bout" est un manuscrit refusé par tous les éditeurs à qui je l'ai proposé car "trop écrit", "trop travaillé", "trop argotique". J'ai donc choisi de l'auto-éditer dans une série de 50 exemplaires limités. Si vous être intéressé, me contacter en MP ou par e-mail: hirsute.hirsute@orange.fr

04 Jul 2015

Écrire un roman, c’est s’enlever un peu plus d’espérance de vie à chaque mot

Chaque roman écrit est un chavirement brutal vers les plaines ravagées de l’en-soi. Je ne parle pas du « Moi » mais du « Ceux » invisibles qui grouillent dans les strates visqueuses de notre viande. Trop souvent aujourd’hui, je lis des écrivains dits Internet qui sont axés sur eux-mêmes, dénués de créativité, de curiosité, de haine et d’empathie (les deux à la fois) pour leurs contemporains. Car je le dis encore, il ne s’agit pas d’écrire un « livre », d’être « publié », d’être « reconnu » et d’être « connu », il s’agit de déballer les monstres hideux sur la place publique et d’en faire vaciller les vivants… Offrir un texte qui pourrait tuer ou sauver un lecteur. Rien de prétentieux à cela… On ne peut se contenter de lécher de jolis seins ou des pectoraux musclés sans penser aux poumons spongieux, au cœur gluant et aux côtes laides comme du calcaire qui résident dessous… Écrire un roman, c’est s’enlever un peu plus d’espérance de vie à chaque mot… C’est accélérer sa route vers la mort en errant parmi les spectres et les animaux fabuleux qui peuplent l’en-soi…

 

Léonel Houssam

03 Jul 2015

Du chômage, des syndicalistes des trente glorieuses et quelques veines tranchées.

A l’instar de trompes ligaturées, j’avais la bouche fermée incapable de produire le moindre mot. La bande de connards assise devant moi était une horde hostile de syndicalistes quinquagénaires revanchards, de gauche dans l’entreprise, du FN à la ville. Assis derrière leurs écrans d’ordinateurs portables, les yeux faussement accaparés par une lecture quelconque, ces bambins des trente glorieuses avaient envie d’une seule chose : que rien ne bouge, que tout redevienne comme lorsque ils avaient 25 ans. Révolutionnaires à l’orée de la retraite, ils humaient l’air du temps avec le fumier infâme de leur nostalgie égoïste… J’avais envie de me lever, de courir dans ma voiture pour y prendre mon flingue chargé et le décharger sur leurs faces puantes de social-traîtres. Je n’en fis rien. Je les laissai m’humilier, mentir, me traiter de merde sans me défendre… Quelques heures plus tard, je m’ouvrais les veines dans ma baignoire, le corps secoué par une crise de nerf terrifiante. Mehdi déboula dans la salle de bain alors que je commençais à tourner de l’œil. Il me sauva. Oui, il me sauva… Mais de quoi ?

 

Léonel Houssam

28 Jun 2015

Mon entrée dans une revue littéraire clandestine: Les Corrosifs. Vient de paraître.

Les Corrosifs, qu'est-ce donc? C'est une revue clandestine éditée en Algérie envers et contre toute la connerie humaine, pour une littérature débridée, sans concession, une littérature qui revient à sa raison d'être première: être une arme de résistance... Ahmed, fondateur de la revue, artisan de la lutte littéraire et écrivain, a besoin de notre soutien pour continuer. En débutant ma collaboration avec cette missive poético-combattante, j'apporte ma modeste contribution l'écriture "maquisarde". 

 

Vous trouverez un de mes nouveaux textes inédits au titre évocateur, « Je vous laisse à vos traditions », dans n°6. Mon soutien à un projet littéraire réel, défendant l’écriture libre dans un pays où liberté rime souvent avec barreaux et barbelés est naturel et surtout, il constitue pour moi une démarche vers un pays sublime ligoté par des pouvoirs politiques, moraux et économiques qui s’assoient sur la culture d’éclectisme et d’indépendance de très nombreux citoyens algériens. Vous trouvez ici la couverture du n°6 de la revue où mon texte est imprimé (dans le sous-sol du fondateur et fabriquant de cet objet littéraire résistant et libre). Celle-ci est purement et simplement une image interdisant la vente de la revue en librairie. 

 

Pour mes lecteurs en France, sachez que Les Corrosifs, c’est disponible pour 5 euros l’unité (frais de port compris envoyé d’Algérie) et pour 15 euros les 6 numéros. C’est pas cher du tout, mais c’est beaucoup pour que la revue continue son combat pour la littérature ! Soyez nombreux à prendre cet abonnement de 6 mois (ou d’un an pour 30 euros les 10 numéros). Vous pourrez aussi acheter la revue en PDF pour beaucoup moins cher. Ce sera un acte de résistance réel et non fictif ! L’argent est le nerf de la guerre, mais il est aussi l’oxygène de la paix ! 

 

Cette participation à cette revue ne fait que commencer. Je ne m’arrêterai pas à l’envoi d’un texte unique. 

 

Je reviendrai vers vous pour vous informer sur les modalités de paiement (en fait c’est sur Paypal, rien de plus simple). Si cela paraît compliqué pour certains de régler via un compte Paypal, je peux tenter d'importer des exemplaires en France pour un règlement par chèque. Je transmettrai ensuite la thune à Les Corrosifs - revue littéraire​ via Paypal (mais c'est quand même alambiqué!)

 

Premières lignes de ma modeste contribution aux Corrosifs :

 

« La tradition, c’est le futur, les arbres qui plient dans un fatras de bulldozers enragés tirés de la croûte terrestre par des mineurs esclaves, des gueules noires ratatinées, des familles pillées par le chômage, l’humiliation, l’impossible accès aux soins, à l’eau potable, à la nourriture ».

 

Site: http://www.lescorrosifs.1s.fr

20 Jun 2015

Le dimorphisme sexuel des Caloptéryx splendides...

Derrière son muret de briques rouges, Philippe tenait fermement cette énorme télécommande pour voiture électrique. Sauf qu'il n'y avait pas de voiture, qu'il se persuadait, qu'il s'imaginait contrôler la trajectoire des passants. Du haut de ses un mètre quatre-vingt-douze, torse nu sous la pluie fine, rougie à outrance par des coups de soleil récents, il écarquillait les yeux à chaque passage devant le portail de son jardin. La langue pendante, il s'appliquait à jouer avec les manettes. Ses mains étaient épaisses, aux doigts boudins s'agitaient nerveusement. Les "pfouuh" émis par sa bouche étaient censés imiter le moteur puissant qui contrôlait les corps des badauds-robots. Il était joyeux. Il avait un rôle. Parfois je m'approchais de lui. Il sentait la sueur, le vomi, la viande sale. "Alors ma gros, ça marche bien la télécommande ?" Dedans ses yeux, il y avait des digues d'antimatière. Mais je l'aimais bien ce taré.

Malgré son bide boule à la peau jaune qui dépassait sans cesse de ses chemises sales, Émile était l'intellectuel de Val. Depuis des décennies, il était auteur de mots croisés pour le Jura, quelques feuilles de choux locales et surtout, son prix Nobel, son Oscar, sa Légion d'honneur, ce fut la publication de trois de ses grilles dans les numéros de Paris Match de l'été 2001. Il avait alors 60 ans, jeune retraité de l'éducation nationale et en l'espace de quelques jours, il devint la sommité de la seigneurie, encensé par le maire, reluqué avec envie par nombre de ses voisins.

Émile devint l'invité de prestige des soirées Loto ou des galas de vedettes qui se déroulaient à Val. Il fut également le parrain de la dictée organisée chaque année lors de la diffusion du même événement à la télévision. Il s'en donnait à cœur joie lors de discours fleuves qui endormaient les retraités constituant la majorité de l'assemblée. Émile était adulé par un cercle de vieilles veuves aigries. Ça grouillait. Mon estomac chantait sa bouillie. J'étais adossé à la colonne romaine en plâtre.

Philippe trifouillait les manettes de sa télécommande tentant d'obliger Émile à s'écarter du pupitre d'où il déblatérait sur la belle langue française. Je caressais la crosse de mon couteau toujours calé dans la grande poche du treillis. J'avais envie de bondir et d'un geste léger, aérien, passer la lame sur la pomme d’Adam de l'érudit en toc avant de me ruer sur le débile s'imaginant contrôler les cons. Mais je restais adossé à la colonne, un peu colère, un peu tristesse et très stressé à l'idée de me retrouver à nouveau au poste. Il était déjà 18h00. Il faisait nuit dehors. Le concert de Daniel Guichard allait commencer dans quelques minutes et les yeux éteints de la centaine de vieux vacillant sur les chaises en plastique allaient s'illuminer de bonheur et d'admiration.

 

 

 

Ses épaules tanguaient à en donner le mal de mer. Je n'avais rien bu depuis ma libération et la nuit de cuite qui s'en était suivie si bien que je m'ennuyais de quelque chose en moi. Le crâne chauve D'Émile s'allumait et s'éteignait selon qu'il passait sous les lampadaires ou qu'il s'en éloignait. Les natifs de la perdition, les spectres fourbus, nous observaient. Derrière moi j'entendais le vrombissement des lèvres de Philippe qui nous guidait dans le crachin.

Les somnambules du matin stress croupissaient dans le RER ou le TER. À la télé, l'élite de l'information spectacle les appelait les "vrais gens de la vraie vie" avec ce dédain compassionnel si écœurant. Il avait mis la télévision au maximum, la fenêtre de sa maison sans étage grande ouverte malgré le froid. Il regardait ceux qui le regardaient. Il jetait un œil sur l’écran avant de baisser ses binocles sur ses grilles de mots croisés vierges qu’il complétait de cases noires et de lettres, qu’il raturait, qu’il gommait, qu’il complétait… J’entendais ses gros doigts cogner la toile cirée, résonner dans le bois de la table. Et la télé le berçait, me berçait, jusqu’à ce qu’il tourne le regard vers moi : « Mais qu’est-ce que tu fous là toi ? ». Figé, fasciné, animal, je restai campé là devant la fenêtre pendant que Philippe continuait un peu plus loin à trifouiller ses manettes. « Tu es dans une propriété privée ! » Je ne bougeai pas… Je le fixais. Il se leva, se dirigea vers le couloir d’entrée… Je l’entendis fouiller…

Malgré le vagissement du téléviseur, je perçus parfaitement le bruit de l'armement du chien de son flingue. Secoué par la lucidité, je fis un pas puis deux pas en arrière manquant de trébucher sur un tronçon de bois. J'avais toujours la salle à manger en ligne de mire. J'accélérai.

 

À quatre pattes derrière un buisson, j'observai Émile braquant Philippe. Ce dernier tentait de téléguider son adversaire. Mais rien n'y fit, le vieil has been tira.

 

Extrait de quelque chose en cours... Un roman. 

 

Léonel Houssam

14 Jun 2015

Au bout du chemin, il n'y a plus de chemin...

"Le père Froideval, c'est un bon gars, le pépère honorable mais faut arrêter avec ça. Il a un casier cette crapule, pour cambriolage, quand il avait trente balais, il a pris cinq ans. Et moi je sais des choses sur lui, des choses pas propres. Quand il s'est mis sur la liste de Clanche pour essayer de virer le maire aux élections, c'était ni plus ni moins qu'un gangster de plus contre la politique de transparence et d'honnêteté. Moi je ne fais pas de politique non. Je dirige la police de Val, mais merde les délinquants au pouvoir, non !" Il avala une gorgée de vin. Cela déforma son visage. Le picrate infâme servi dans ce restaurant était aussi corrosif que le vinaigre, mais il ne coûtait pas cher. Le silence régnait encore pendant que Jacques discourait. Michel entra et vint se poser contre le zinc. Le patron lui servit un sauvignon. "Il s'est mis à baver. S'est levé après avoir fini son sandwich puis il est allé prendre une boîte de maquereau au vin blanc dans le buffet, une fourchette dans un tiroir qui l'a obligé à enjamber le cadavre de la vieille. En l'ouvrant, ça a giclé partout, y compris sur la joue et les nibards à l'air de la morte. Moi je le regardais faire. Nous les flics, on doit analyser. C'est pas la peine de se précipiter. Entre l'odeur de poisson au muscat et aux épices et du cadavre qui sentait le lait qui pourrit lentement sous le cagnard, je te laisse imaginer... "

"Celui qui fait le mal, le fait volontairement, sinon ça n'est qu'un fou, rien qu'un fou". Jacques me regarda en coin. Je détournai les yeux vers l'écran. Une bande d'abrutis assis dans des fauteuils de salon autour d'une table basse encombrée de packagings de produits de consommation courante s'enthousiasmait sur le thème annoncé en bas d'écran: "Des crèmes bio pour une peau plus saine". Ces malades discutaient de ça -malgré le son coupé, j'en étais persuadé- comme s'ils débattaient du sort de migrants politiques violés collectivement par des militaires corrompus. Cette peste, ces chroniqueurs du vide me mettaient en colère, et pourtant je ne trouvais pas d'autre parade pour éviter le regard puissant de Jacques toujours excité par sa propre logorrhée: "Je lui ai permis de terminer son maquereau. Mais quand il a voulu se servir une louche de soupe froide qui stagnait dans une casserole posée sur la gazinière, j'ai dit stop !"

" Au bout du chemin, il n'y a plus de chemin..." Pour une raison qui m'échappa, j'avais les doigts dans mon récipient de vinaigrette. Je touillais. Mes doigts piquaient, mes ongles rongés jusqu'au sang, la côte tronquée de mes gencives et les lèvres de Jacques qui ne discontinuaient pas: "Il m'a demandé s'il pouvait faire un ultime geste avant que je l'embarque. Je m'attendais à tout sauf à ça. Avant que je lui donne mon accord, il s'est levé puis il s'est agenouillé sur le carrelage avant de se pencher pour fourrer sa grosse langue blanche entre les lèvres dures, en bois du cadavre de sa femme !"

 

L. Houssam

10 Jun 2015

Nouvel avis de lectrice à propos de mon roman Les derniers cowboys français

Nouvel avis de lectrice à propos de mon roman Les derniers cowboys français: " Bonjour Leonel. La dernière page des derniers cowboys français est achevée, depuis dimanche matin (quand même ! Je peux enfin prendre le temps de te répondre.Outre le fait que j'ai beaucoup aimé, j'ai aussi ADORE ! Je suis passée par plusieurs phases : maudire ce flic qui se laisse aller à la suite du départ de Justine. L'acceptation de toutes ces infidélités, c'est ahurissant ! Mais par la suite une progression déjantée pour devenir ce cowboy français ! Fallait oser ! La décadence physique et morale est décrite avec des mots crus, profonds, percutants, parfois violents. Rires aussi tant certaines situations pouvaient être pathétiques. Votre style décalé, unique et original soulève les consciences fragiles, les "booste", si elles acceptent l'univers auquel vous les exposez. Un roman complètement décalé, une histoire haletante, bouleversante aussi... ça fait un bien fou ! MERCI !"

08 Jun 2015

Un article parlant de mon groupe disparu "La Littérature tue encore..."

Un article sur ces revues littéraires qui crèvent mais aussi ces groupes littéraires sur Facebook et ailleurs qui crèvent aussi dont le mien "La Littérature tue encore" qui avait allègrement dépassé les 7000 abonnés... En savoir plus ici:

http://www.saletempspourlesours.com/#!le-blog-du-blog/c14ha

07 Jun 2015

Mon manuscrit disponible pour 18€. Série limitée à 50 exemplaires.

 

Mon manuscrit "Chronique de la mort au bout", refusé par tous les éditeurs à qui je l'ai envoyé,est disponible pour moins de 18 euros (114 pages en format A4 environ) à partir du 7 juin sur Amazon ou en commande directe par e-mail: hirsute.hirsute@orange.fr. Attention, je n'en vendrai que 50 maximum. Ensuite, retrait définitif. Personnes intéressées: me le faire savoir au plus vite.

Complément: A propos de "Chronique de la mort au bout" que je vends 18€ avec un tirage limité à 50 exemplaires: C'est un manuscrit qui a été refusé par tous les éditeurs auxquels je l'ai l'envoyé. Le style a fait son effet puisqu'ils me l'ont tous dit, mais l'intrigue ne leur va pas. En fait, il n'y a pas d'intrigue puisque c'est une errance mentale d'un tueur sans aucune forme de limite morale. Si je peux résumer ce roman, c'est une chronique psychique rédigée de 2011 à 2015. Comme j'y ai mis plus qu'un récit fictionnel, que j'ai souhaité faire passer des messages assez précis sur le rapport de chacun à la mort, je le mets en vente pour les plus intéressés d'entre vous. A ce jour, 20 personnes ont déjà commandé ce manuscrit "collector" qui ne sera jamais édité. Il en reste donc 30. Si vous êtes intéressé, contactez-moi. 

 

L.H.

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